top of page
Rechercher
Photo du rédacteurjean-michel

😃Avis de Beau Temps : Bouquetin des PyrĂ©nĂ©es

Les bonnes nouvelles sont rares en ce moment alors ne gĂąchons pas notre plaisir.

Citons l’AFP :

AFP, publié le jeudi 03 septembre 2020 à 09h17

Avec une nouvelle génération de 70 cabris recensés en 2020, le bouquetin signe son grand retour dans les Pyrénées françaises, dont il avait disparu il y plus d'un siÚcle, le couronnement d'un projet franco-espagnol au long cours.

Les jeunes spécimens ont été dénombrés pour 41 d'entre eux dans le Parc National des Pyrénées (PNP), à cheval sur les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Atlantiques, et pour les autres dans le Parc régional des Pyrénées ariégeoises.

C'est dans ces deux sites que des bouquetins, cousins de la sous-espÚce disparue, ont été réintroduits ces derniÚres années, portant la population cÎté français à quelque 400 individus.









.

En 1910, deux grands bouquetins étaient abattus dans les Hautes-Pyrénées, sonnant la disparition des Capra Pyrenaica pyrenaica du versant français.

Lorsque la derniÚre femelle est retrouvée morte cÎté espagnol, le 6 janvier 2000, cette sous-espÚce du bouquetin ibérique s'est officiellement éteinte.

Mais l'Espagne compte toujours des spécimens cousins, des Capra pyrenaica victoriae. De quoi nourrir l'idée d'une réintroduction dans les Pyrénées françaises, en germe depuis les années 80. Il faudra toutefois attendre 2014 pour les premiers lùchers.

"Jusqu'en 2012, l'Espagne refusait de livrer des bouquetins", explique Jean-Paul Crampe, membre du comité scientifique du PNP.

Pour surmonter les réticences espagnoles, la France s'engage à ne pas chasser le bouquetin, et "inscrit le bouquetin ibérique dans la liste des espÚces protégées", ajoute M. Crampe. Au final, l'Espagne donne son feu vert, "et depuis tout s'est enchaßné trÚs rapidement".

Cette réussite sur le front de la biodiversité se veut aussi un moteur touristique. "Pour nous c'était vraiment l'une des composantes du projet", avec "des formations sur le bouquetin pour les professionnels du tourisme" relÚve Matthieu CruÚge.

"Et ça marche, il y a une bonne réponse du public. Ce sont de animaux majestueux et c'est une vraie émotion de les observer. Le bouquetin apporte à l'économie touristique de la montagne". Fin article AFP


A bon, la faune sauvage peut-ĂȘtre un argument touristique? Mais pourquoi tant de destructions des ours et des loups ?

Pour attire run vrai tourisme de nature respectueux de la faune sauvage, il faut rĂ©tablir l’ensemble de la chaine alimentaire et laisser la nature Ă©voluer librement. Les grands Ă©quilibres Ă©cologiques vont se rĂ©tablir miraculeusement. Ce n’est qu’une question d’Espace Ă  disposition...

4 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comentarios


bottom of page